L’Algérie en sursis

15/02/2016
1 Comments
  • Djamel BELAID
    28/04/2020 Répondre

    Mr Baverez votre avertissement est salutaire. M’intéressant à l’agriculture, je suis effaré par les archaïsmes. Un exemple: les minoteries reçoivent des quotas de blé de la part de l’office algérien des céréales (OAIC). Mais elles ne peuvent pas en acheter directement aux agriculteurs. Pourtant dans le cas des laiteries, ces dernières peuvent acheter le lait des éleveurs et elles rivalisent d’aides en tout genre pour aider ces éleveurs et les fidéliser. Pourquoi ce qui fonctionne dans le cas du lait n’est-il pas appliquer aux céréales? Il n’y a pas de statut du fermage. De ce fait les agriculteurs qui louent des terres ‘et ils sont nombreux) sont dans l’illégalité. Ils n’ont pas droit aux aides de l’Etat ni aux circuits de ventes officiels ce qui encourage le travail au black… Les exemples sont légion. Pourtant, il suffirait de presque rien… BELAID Djamel (ingénieur agronome).

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