La France est devenue un rentier nihiliste, dilapidant l’héritage des générations passées et sacrifiant systématiquement les enjeux d’avenir à des objectifs de très court terme.
Les conflits, devenus totaux et illimités, envahissant de nouveaux milieux, placent la donne géopolitique sous le signe d’une paix impossible.
Pour l’Europe, les cinq prochaines années seront décisives. Soit elle parvient à s’affirmer comme un acteur stratégique indépendant. Soit elle perdra sa souveraineté et sa liberté pour faire l’objet d’un nouveau Yalta entre les puissances impériales.
Le président américain impulse, aux États-Unis et dans le monde, une dynamique comparable à celle de la Grande Dépression.
Le meurtre d’une surveillante de collège, poignardée par un élève, montre l’ampleur de l’effondrement de l’ordre public. En France, il n’existe plus aucun individu, aucune institution, aucune partie du territoire qui soit aujourd’hui en sécurité.
La péninsule gouvernée par Giorgia Meloni fait preuve d’une vitalité économique, mais aussi d’un grand pragmatisme.
La troisième conférence des Nations unies sur l’océan, qui s’ouvre ce lundi à Nice, revêt une importance cruciale. Les mers constituent un enjeu vital pour la sécurité économique, numérique, énergétique et alimentaire des nations.
Loin d’accoucher d’un avenir radieux, la société sans travail a provoqué le déclassement du pays. Le retour au plein-emploi et la hausse de l’activité sont les clés du redressement.
La France est un Titanic qui se dirige droit vers l’iceberg du défaut financier, avec une classe politique qui a fait le choix de la lâcheté et de l’impuissance.
Le président américain et le pape fraîchement élu ont des conceptions de la paix aux antipodes : pour Donald Trump, la paix se construit par les intérêts et les affaires conclues entre les dirigeants, et pour Léon XIV, par les valeurs et la réconciliation.
Les réformes du prince héritier Mohammed ben Salmane ont transformé le royaume et l’ont érigé en plateforme diplomatique majeure.
L’UE n’engage pas les initiatives qui permettraient de relancer le capitalisme européen. Et sous la pression de sa bureaucratie, elle refuse de revenir sur les erreurs qui ont ruiné son agriculture et son industrie.
L’économiste américain Arthur Laffer avait théorisé l’effet dissuasif d’un impôt trop élevé. La situation économique de la France, avec ses 40 milliards d’impôts nouveaux dans une économie exsangue, lui donne malheureusement raison.
La panne géante qui a touché l’Espagne le mois dernier met en lumière l’impératif de politiques énergétiques de long terme et souligne les errances françaises en la matière.
Jamais le régime de Recep Tayyip Erdogan n’a paru aussi près de se décomposer. La lettre de cachet lancée contre Ekrem Imamoglu est l’abus de pouvoir de trop.