Les États-Unis et l’Europe ne doivent pas rééditer les erreurs qui ont permis la constitution de l’État islamique et la renaissance d’al-Qaida.
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À l’image de la guerre d’Espagne pour le second conflit mondial, la tragédie syrienne sert de laboratoire aux conflits du XXIe siècle.
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Après la chute de Mossoul et Raqqa, l’État islamique n’en est que plus dangereux car de nombreux djihadistes exportent la terreur.
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Dans tout le monde développé, l’État islamique se restructure sous la forme d’un réseau social cherchant à radicaliser et enrégimenter la jeunesse.
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Le raid américain modifie l’équilibre géopolitique.
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L’affrontement demeure la meilleure option pour les belligérants, qui ne peuvent ni vaincre ni être vaincus.
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L’intervention de Vladimir Poutine en Syrie oblige à repenser la stratégie contre l’EI.
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Un an après le début des frappes de la coalition, l’État islamique n’a pas été contenu. Pis, sa menace se répand au Moyen-Orient.
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La riposte des démocraties a été trop tardive et pour l’heure trop faible face à la percée de l’État islamique.
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