Le meurtre d’une surveillante de collège, poignardée par un élève, montre l’ampleur de l’effondrement de l’ordre public. En France, il n’existe plus aucun individu, aucune institution, aucune partie du territoire qui soit aujourd’hui en sécurité.
Si la plupart des démocraties connaissent des mouvements de protestation et des épisodes violents, la France fait exception par la multiplication des mouvements et la perte de contrôle de l’ordre public par l’État.
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