En signant l’accord sur les droits de douane, fruit d’une stratégie de l’apaisement, l’Union européenne a dangereusement renforcé sa dépendance à l’égard des États-Unis.
Le retrait constaté du président chinois pourrait annoncer le retour à une direction collégiale.
Avec pour objectif une réorientation économique.
Le multilatéralisme a vécu, l’heure est à la souveraineté. Vulnérable, l’Union européenne devrait se doter d’un directoire rassemblant ses grands États.
François Bayrou aura-t-il le courage qui a manqué à Macron ? Dépenses publiques. Le 15 juillet, le Premier ministre présentera le projet de budget 2026. Il devra choisir entre les réformes et l’immobilisme. Et réaliser au moins 40 milliards d’économies pour enrayer le déclin.
Les conflits, devenus totaux et illimités, envahissant de nouveaux milieux, placent la donne géopolitique sous le signe d’une paix impossible.
Le président américain impulse, aux États-Unis et dans le monde, une dynamique comparable à celle de la Grande Dépression.
La péninsule gouvernée par Giorgia Meloni fait preuve d’une vitalité économique, mais aussi d’un grand pragmatisme.
Loin d’accoucher d’un avenir radieux, la société sans travail a provoqué le déclassement du pays. Le retour au plein-emploi et la hausse de l’activité sont les clés du redressement.
Les réformes du prince héritier Mohammed ben Salmane ont transformé le royaume et l’ont érigé en plateforme diplomatique majeure.
La panne géante qui a touché l’Espagne le mois dernier met en lumière l’impératif de politiques énergétiques de long terme et souligne les errances françaises en la matière.
Jamais le régime de Recep Tayyip Erdogan n’a paru aussi près de se décomposer. La lettre de cachet lancée contre Ekrem Imamoglu est l’abus de pouvoir de trop.
Réindustrialisation, armement, dette, éducation, santé… L’inertie touche tous les domaines de l’action publique. L’histoire, elle, bascule.
Donald Trump a plongé dans le chaos les échanges et les paiements mondiaux.
Face à la loi du plus fort imposée par les empires russe et américain, le chancelier Friedrich Merz fixe une ligne claire : relance de l’économie, fin de l’austérité et réarmement.