Quand les banques américaines ont surmonté la crise de 2008, les grandes banques européennes dévissent. La conséquence de « six chocs » qui ont abouti à une situation de blocage.
Notre langue n’est pas que littéraire. Elle est aussi un vecteur de croissance et d’innovation pour multiplier les échanges dans l’enseignement et l’art.
La capacité à réformer, l’innovation, l’inclusion à travers l’éducation et le travail et la coopération internationale doivent permettre d’éviter une stagnation au XXIe siècle.
Si en matière de sécurité le bilan de l’organisation est décevant, les Nations unies jouent un rôle non négligeable dans la résolution des crises périphériques et l’aide au développement.
Voilà trois ans et demi que François Hollande, à l’image de Herbert Hoover déclarant en 1929 que « la prospérité est au coin de la rue », annonce la reprise. Voilà trois ans et demi que la reprise demeure introuvable en France tandis qu’elle s’épanouit dans le monde développé.
À l’âge de l’histoire universelle, la formule de sir Raleigh n’a jamais été plus exacte, selon laquelle « Qui commande la mer commande le commerce ; qui commande le commerce commande les riches ; et qui commande les riches commande le monde ».
L’interminable banqueroute de la Grèce vient d’accoucher d’un nouveau plan de sauvetage mort-né. Les deux conditions du maintien du pays dans l’euro ne se trouvent nullement remplies par l’accord bancal du 17 juillet dernier.
Au terme de la présidence calamiteuse de George W. Bush, Barack Obama fut élu pour sortir les États-Unis des bourbiers afghan et irakien, restaurer la croissance et réunifier la nation. Son bilan est plus que mitigé.
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