À l’âge de l’histoire universelle, la formule de sir Raleigh n’a jamais été plus exacte, selon laquelle « Qui commande la mer commande le commerce ; qui commande le commerce commande les riches ; et qui commande les riches commande le monde ».
Tous les ingrédients sont réunis pour qu’une gigantesque crise frappe le monde. Cette imminence rend encore plus nécessaires les réformes de structure.
Le commerce international, qui croissait deux fois plus rapidement que l’économie mondiale dans les années 1990 et 2000, progresse désormais moins vite : 3,1 %, contre 3,5 % cette année.
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