L’Europe est la grande perdante de la nouvelle donne issue de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
La France n’a jamais été aussi exposée et vulnérable depuis les années 1930, prise en tenailles entre sa décomposition intérieure et la montée des tensions internationales.
Avec Emmanuel Macron, notre pays, qui était la clé pour traiter des enjeux africains, est devenu un repoussoir dont tous se détournent. Le naufrage français coupe ainsi l’Europe d’un continent décisif pour son avenir.
Partout, la violence se banalise et se radicalise, jusqu’à devenir sa propre fin, s’affirmant comme le principe des régimes autocratiques et comme le fondement de leur revendication d’un nouvel ordre mondial fondé sur les purs rapports de force.
Ce ne sont pas les promesses vaines de diminution du chômage ou de hausse de l’activité qui pourront rétablir nos finances publiques mais bien la réforme du modèle social.
La nomination de Gabriel Attal comme premier ministre marque une rupture. Pour la première fois, Emmanuel Macron a choisi non pas un technocrate inconnu des Français mais un responsable politique plus jeune et populaire que lui. (suite…)
La frappe du Hamas contre Israël, le 7 octobre, montre que la violence monte en intensité et change de nature.
Depuis une décennie, la natalité française ne fait que chuter. Le silence qui entoure l’écroulement des naissances en France est d’autant plus surprenant que ses conséquences sont majeures.
L’Europe a perdu toutes les batailles technologiques du XXIe siècle alors qu’elle dominait les télécommunications en 2000. Elle ne doit pas perdre la guerre de l’IA.
L’ensauvagement du monde et la prolifération de la violence imposent de repenser l’Union en termes de souveraineté et de communauté de destin.
Les résultats obtenus sur le plan économique et stratégique sont impressionnants. L’élection présidentielle américaine de 2024 marquera un moment clé dans la grande confrontation qui s’est ouverte entre empires autoritaires et démocraties avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
L’addiction à la dépense et aux prélèvements publics constitue une menace pour la croissance et l’emploi, comme pour la citoyenneté et la souveraineté.
L’éducation ne relève plus en France de mesures cosmétiques mais de réformes systémiques. Dans l’économie et la société de la connaissance du XXIe siècle, la maxime de Leibniz selon laquelle « l’éducation peut tout » n’a jamais été aussi juste.
Croissance en berne, explosion du chômage des jeunes, déflation, crise immobilière… Le trou d’air de l’économie chinoise n’est pas conjoncturel mais structurel.
L’organisation des pays du sud s’inscrit dans la stratégie de la Chine, visant à construire un nouvel ordre mondial post-occidental, mais aussi post-démocratique.
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